Emmanuel Macron : Le Banquier qui Voulait Être Jupiter

Chapitre 1 : Le premier de la classe (mais vraiment premier)

Emmanuel naît en 1977, une époque où tes parents écoutaient Claude François en K7.
À l’école, il est le genre d’élève qui rend ses devoirs avant tout le monde, avec des phrases si longues que même ses profs doivent reprendre leur souffle.
Il tombe amoureux de sa prof de théâtre, Brigitte. Scandale dans la salle des profs, mais spoiler : c’est le couple le plus solide de la politique française.
Macron, c’est le gars qui te corrige tes fautes de grammaire… pendant qu’il rédige un rapport de 400 pages sur l’économie mondiale.
Bref, déjà jeune, il était en mode « chef ».

Chapitre 2 : Le banquier prodige (et ses costards bien repassés)

Avant la politique, Manu bosse chez Rothschild.
Il signe des deals tellement énormes qu’il pourrait acheter ton HLM juste avec ses primes de fin d’année.
Surnommé « Mozart de la finance » (même si personne ne l’a vu jouer du piano), il devient le golden boy en costard.
Son arme fatale : un sourire ultra-brite et un débit de parole qui ferait buguer Google Traduction.
Mais il s’ennuie vite de compter des milliards et décide de se lancer dans… le game politique.

Chapitre 3 : Le président surprise

En 2017, Emmanuel Macron surgit de nulle part, comme un DLC que personne n’avait vu venir.
Il crée son parti « En Marche ! » — un nom qui sonne comme un slogan de coach sportif.
Résultat : il explose tous les vieux partis et devient président à 39 ans, pendant que toi tu galères encore à remplir ton CV.
Il adore se comparer à Jupiter, le dieu romain. Traduction : il veut être au-dessus de tout le monde, façon dieu de l’Olympe, mais en costard slim.
Son style ? Des phrases interminables, des conférences où il tutoie la philosophie grecque, et un amour pour dire « quoi qu’il en coûte » comme un mantra.

Chapitre 4 : Le boss final des réformes qui fâchent

Macron enchaîne les mandats, les crises, et les manifs avec poubelles en feu en arrière-plan.
Il adore parler de « start-up nation », mais parfois on a l’impression qu’il confond la France avec une appli mobile.
Ses adversaires le traitent de « président des riches », lui préfère dire qu’il modernise le pays.
Son super-pouvoir ? Garder un calme divin face à des foules en gilet jaune qui l’insultent copieusement.
Aujourd’hui, Macron est le boss final du jeu politique français : trop jeune pour la retraite, trop vieux pour TikTok, et toujours en train d’expliquer la vie comme un prof de philo sous caféine.
Et avoue : même si tu râles contre lui, tu écoutes quand même ses punchlines, juste pour vérifier si c’est du Macron ou du Kaamelott.