Sam Altman : Le Sorcier de la Silicon Valley

Chapitre 1 : Le gosse branché sur 220 volts

Sam naît en 1985 à Chicago, l’année où Retour vers le futur sort au cinéma.
À 8 ans, il démonte déjà son premier ordinateur comme d’autres démontent un Lego.
Il grandit avec un clavier dans les mains et un plan en tête : hacker la vie, mais version business.
Étudiant à Stanford, il s’ennuie très vite : trop lent, trop classique, pas assez « next level ».
Alors il lance sa première start-up à 19 ans, parce que pourquoi attendre la trentaine pour être un boss ?

Chapitre 2 : Le chouchou des start-ups

Sam fonde Loopt, une appli de géolocalisation lancée avant l’heure (un peu comme si Google Maps avait eu un petit frère flippant).
Il la revend, encaisse son premier jackpot et se fait remarquer dans le monde des start-ups.
Résultat : il devient président de Y Combinator, l’incubateur mythique de la Silicon Valley.
Son job ? Transformer des nerds en futurs milliardaires.
Bref, c’est un peu le prof principal de la start-up nation version US.

Chapitre 3 : Le mage de l’intelligence artificielle

En 2015, Sam cofonde OpenAI avec Elon Musk et d’autres tech-gourous.
Son rêve ? Créer une IA « bénéfique pour l’humanité » (et pas juste un robot qui commande des pizzas).
Sous sa direction, naissent GPT, DALL·E, et toute une génération d’IA qui bluffent le monde.
Il devient le visage public de l’IA, le mec qui explique aux gouvernements que non, Skynet n’est pas pour demain (enfin… normalement).
Son style ? Un mélange de gourou zen et de start-upper hyperactif.

Chapitre 4 : Le boss final du futur

Aujourd’hui, Sam Altman est l’un des hommes les plus influents de la tech.
Il jongle entre prédictions futuristes, levées de fonds astronomiques et interviews philosophiques.
Certains le voient comme un visionnaire, d’autres comme un sorcier qui joue avec le feu de l’IA.
Il parle d’énergie nucléaire, de colonies spatiales et d’immortalité numérique comme toi tu parles de ton panier Deliveroo.
Sam Altman, c’est le boss final du futur numérique : toujours souriant, toujours mystérieux, toujours à deux doigts de sortir une prophétie.
Et avoue-le : tu te demandes si ce n’est pas déjà lui qui écrit certains de tes messages… via une petite IA.