Patrick Sébastien : Le Roi des Serviettes
Chapitre 1 : Le gosse qui imitait tout le monde
Patrick Boutot (oui, c’est son vrai nom) naît en 1953 à Brive-la-Gaillarde.
Petit, il adore déjà faire rire la galerie, chanter faux exprès et imiter ses voisins.
Il rêve moins de devenir président que d’être le mec le plus fun de la soirée.
Son arme secrète : un accent chantant, une énergie débordante et un rire qui résonne comme une fanfare.
Bref, un gosse qui avait déjà « la fiesta dans le sang ».
Chapitre 2 : L’imitateur qui devient chanteur (malgré lui)
Patrick commence sa carrière comme imitateur : il peut passer de Johnny à Coluche en deux secondes.
Puis il se met à chanter… des chansons débiles mais fédératrices.
« Les Sardines », « Le Petit Bonhomme en mousse », « La Fiesta »… des tubes de mariages et de boîtes de village.
Résultat : tout le monde danse en rond en criant « et on fait tourner les serviettes ! ».
Patrick, c’est le mec qui peut transformer n’importe quelle soirée en kermesse géante.
Chapitre 3 : Le showman du samedi soir
Dans les années 90, il devient animateur télé et lance Le Plus Grand Cabaret du monde.
Son concept : jongleurs, magiciens, clowns, acrobates… bref, le Cirque du Soleil mais version France 2.
Il enchaîne les plateaux, les costumes à paillettes et les rires tonitruants.
Ses émissions deviennent des rendez-vous familiaux, où papys, mamies et petits-enfants tapent tous dans leurs mains.
Patrick, c’est l’oncle rigolo de la télé française, celui qui hurle « ça va être génial ! » à chaque numéro.
Chapitre 4 : Le boss final de la fête kitsch
Aujourd’hui, Patrick Sébastien est une légende vivante du divertissement franchouillard.
Certains le trouvent ringard, d’autres le vénèrent comme le prophète de la bonne humeur.
Son super-pouvoir ? Créer des chansons qui restent coincées dans ta tête plus longtemps qu’un générique de pub.
Son style ? Un mélange de franchouillard assumé, de générosité et de grosses blagues potaches.
Patrick, c’est le boss final de la fête populaire, le mec qui te fait lever les bras même si tu avais juré de rester assis.
Et avoue-le : toi aussi, tu as déjà tourné ta serviette en hurlant son prénom.