Donald Trump : Le Cheveux Jaunes de l’Apocalypse

Chapitre 1 : Le gosse doré de New York

Donald naît en 1946 dans une famille tellement riche que son berceau devait probablement avoir des dorures 24 carats.
À l’école, il est turbulent. Traduction : il crie déjà sur tout le monde comme dans ses futurs meetings.
Son père est promoteur immobilier et lui file un « petit prêt » d’un million de dollars. Pour Trump, c’est l’équivalent d’un ticket resto.
Il commence donc à acheter des immeubles, des casinos, et tout ce qui brille… quitte à se planter royalement plusieurs fois.
Mais peu importe : il colle son nom en lettres dorées sur tout. Même les steaks. Oui, Trump Steaks a vraiment existé.

Chapitre 2 : Le roi de la télé-réalité

Avant la politique, Trump devient une star du petit écran.
Dans The Apprentice, il vire des gens devant des caméras en disant « You’re fired ! », sa punchline culte.
Son look ? Cravate trop longue, teint orange mystérieux, et coiffure sortie tout droit d’une tempête radioactive.
Il adore se mettre en scène, parler de lui à la troisième personne et dire qu’il est le meilleur en tout.
Bref, c’est un mélange entre un patron de cartoon et un influenceur de télé-réalité.

Chapitre 3 : Le président improbable

En 2016, plot twist : Trump devient président des États-Unis.
Tout le monde pensait que c’était une blague… jusqu’au soir des élections.
Son style ? Tweets rageux à 3h du mat’, conférences de presse chaotiques et murs imaginaires plus célèbres que les pyramides.
Il adore les superlatifs : tout est « huge », « tremendous », « the best ». Même ses propres échecs.
Son mandat est une série Netflix entre comédie et tragédie : polémiques, discours étranges, et un amour éternel pour les fast-foods.

Chapitre 4 : Le boss final du trolling politique

Trump perd les élections de 2020, mais refuse de l’admettre.
Il passe ses journées à crier que tout est truqué, comme un gamin qui boude après une partie de Monopoly.
Ses partisans le vénèrent comme un prophète, ses opposants le voient comme un cauchemar en spray tan.
Il tente un comeback en mode « je suis le seul qui peut sauver l’Amérique », avec encore plus de caps lock dans ses discours.
Donald Trump, c’est un peu le mélange entre un vendeur de tapis dorés et un méchant de sitcom.
Et qu’on l’adore ou qu’on le déteste, une chose est sûre : il a réussi à transformer la politique en télé-réalité mondiale.