Jeff Bezos : Le Livreur de l’Espace

Chapitre 1 : L’homme qui voulait vendre des livres (et la planète entière)

Jeffrey Preston Bezos naît en 1964, l’année où les Beatles envahissent le monde, mais lui, il a déjà prévu mieux : envahir ton salon avec des colis en carton.
Petit, il bricole des trucs dans son garage. Rien d’extraordinaire… sauf que ce garage allait devenir le QG du plus gros site de shopping de la galaxie.
En 1994, Jeff se dit : « Et si je vendais des livres sur Internet ? » Parce que bon, les livres, ça ne périme pas et ça pèse lourd, donc ça oblige les gens à attendre leur colis en râlant. Jackpot.
Son site s’appelle Amazon, comme la jungle. Mais spoiler : dans sa jungle, y’a surtout des câbles, des serveurs et des types en polo.
Très vite, Amazon ne vend plus seulement des livres, mais TOUT. Si tu veux des chaussettes licorne, un grille-pain violet ou un kayak gonflable, Jeff te dit « pas de souci ».

Chapitre 2 : L’homme au rire maléfique (et au portefeuille XXL)

Bezos adore travailler. Genre vraiment. Son kiff, c’est les réunions de 14 heures où il décide combien de secondes le livreur peut respirer entre deux colis.
Sa spécialité ? Le sourire Amazon. Tu sais, la petite flèche sous le logo. C’est censé représenter la joie du client… mais certains pensent que c’est le sourire diabolique de Jeff lui-même.
L’homme devient si riche qu’on arrête de compter ses milliards. Sérieusement, il pourrait acheter toutes les pizzas du monde et il lui resterait encore de quoi s’offrir la Lune.
Jeff adore aussi les photos torse nu sur son yacht. Normal, quand t’as plus d’argent que Poseidon.
Son autre passion, c’est le management « hardcore ». Traduction : si t’es employé Amazon, ton podomètre explose et ton café refroidit avant que t’aies le temps de le boire.

Chapitre 3 : Vers l’infini et au-delà (surtout au-delà du fisc)

Mais Bezos n’a pas seulement envie de te vendre une housse de couette : il veut aussi conquérir l’espace.
Il fonde Blue Origin, une entreprise de fusées avec un logo qui ressemble à une plume. Très poétique pour quelqu’un qui veut exploser les records de pollution spatiale.
En 2021, Jeff s’envole enfin dans sa fusée en forme de… hum… bâton bizarre. Les mèmes sur Internet n’ont pas manqué, crois-moi.
Le mec part dix minutes dans l’espace et revient avec un chapeau de cow-boy, comme s’il avait capturé un astéroïde à mains nues.
Bien sûr, il déclare que l’humanité doit quitter la Terre. Facile à dire quand tu peux t’acheter une planète avec ta carte bancaire.

Chapitre 4 : Le boss final du capitalisme

Aujourd’hui, Jeff Bezos est l’un des boss ultimes du jeu « Capitalisme Simulator 3000 ».
Il a quitté son poste de PDG d’Amazon, mais il garde ses milliards, son yacht et sa fusée phallique.
Bezos, c’est un peu comme Bowser : il revient toujours avec un nouveau plan diabolique.
Certains le voient comme un génie visionnaire, d’autres comme un méchant de James Bond qui n’a pas trouvé de volcan pour son repaire.
Et malgré tout ça, chaque fois que tu commandes ton câble USB à 3h du mat’, tu fais encore appel à lui.
Jeff Bezos, c’est peut-être le seul gars qui peut te livrer à la fois un grille-pain… et une place dans la prochaine colonie spatiale.