François Hollande

François Hollande est né en 1954, l’année où le rock commençait à secouer les cheveux… qu’il a rapidement perdus. Petit, il rêvait peut-être d’être footballeur, mais il avait deux pieds gauches : parfait pour devenir socialiste. À l’école, il brille par son humour pince-sans-rire : déjà une arme de séduction massive.

Il entre à Sciences Po et à l’ENA : la fabrique à présidents (ou à fonctionnaires très sérieux). Hollande apprend vite à ne rien dire de trop précis pour contenter tout le monde. Sa spécialité ? La « synthèse » : dire « oui » et « non » dans la même phrase. On l’appelle « Flanby » parce qu’il est mou, mais sucré au fond.

Sa montée politique est longue, comme une saison de One Piece. Il devient premier secrétaire du Parti socialiste : le boss des boss, mais version cool. Toujours souriant, il gagne la réputation d’être sympa, voire trop.

En 2012, il se présente contre Nicolas Sarkozy. Sa campagne ? « Le changement, c’est maintenant »… un slogan facile à recycler. Surprise : il gagne ! Le mec qu’on n’attendait pas finit président. Hollande promet d’être un « président normal ». Résultat : mission accomplie. Il est tellement normal qu’on oublie parfois qu’il est président.

Il fait des blagues tout le temps, même aux sommets internationaux. Les autres chefs d’État rigolent… parfois jaune. Hollande aime la pluie. Tellement qu’on le voit souvent trempé lors des cérémonies.

Mais son grand moment de gloire médiatique ? Le scooter. La nuit, casque sur la tête, il file comme Batman, sauf que c’est pour voir Julie Gayet. Toute la France découvre alors qu’un président peut ressembler à un livreur Deliveroo.

Côté politique, son quinquennat est compliqué : chômage, impôts, crise… Mais lui garde toujours le sourire (et les petites blagues). On dit qu’il riait parfois tout seul de ses propres vannes. Hollande adore les selfies : impossible de le croiser sans une photo souvenir.

Après 2017, il quitte l’Élysée avec discrétion (et une caisse de souvenirs). Macron prend la relève, mais Hollande reste dans les parages, genre « l’ancien du lycée ». Il publie des livres : mélange de politique et de blagues sérieuses. Dans les librairies, on le reconnaît toujours : « Hé, c’est Flanby ! »

Aujourd’hui, il se balade un peu partout en France. Il fait des discours, des conférences, et surtout… des blagues. Les jeunes le trouvent parfois « marrant malgré lui ». Sur TikTok, il fait des apparitions improbables. Sur Insta, il est le roi du sourire coincé.

Hollande reste attachant : un président qui n’a jamais perdu son côté humain. Même si ses punchlines ne sont pas toujours drôles, son rire est contagieux. Sa légende : être le président qui a fait rire la France… même dans les moments sombres. Son surnom restera : Flanby, le dessert préféré des caricaturistes. François Hollande, c’est le gars normal devenu président. Et c’est peut-être pour ça qu’on l’aime bien, finalement.